La Clinique Paul Picquet ouvre un centre de pathologies mammaires

A l’occasion d’Octobre Rose, le mois consacré à la lutte contre le cancer du sein, la Clinique Paul Picquet à Sens annonce l’ouverture de son centre de pathologies mammaires, l’unique de l’Yonne. L’objectif ? Proposer une prise en charge rapide et coordonnée des patientes pour le diagnostic, le traitement et la surveillance d’un cancer du sein ou de toute autre pathologie mammaire. 




Rougeur, grosseur, écoulement, gène, rétraction cutanée ou épaississement… Si une patiente ou son médecin remarque une anomalie au niveau du sein faisant suspecter une pathologie mammaire, ils peuvent désormais contacter le centre de pathologies mammaires de la Clinique Paul Picquet, via un numéro de téléphone dédié. En effet, l’équipe pluridisciplinaire de l’établissement, composée de chirurgiens gynécologues et plasticiens, oncologues, radiothérapeutes, radiologues, infirmières spécialisées et psychologues, s’engage pour la prise en charge diagnostique, les traitements et le suivi des patientes atteintes de pathologies mammaires. 


Réduire les délais d’attente

Le centre de pathologies mammaires de la Clinique Paul Picquet organise sous une semaine, une prise en charge globale et une première consultation médicale. « Notre établissement souhaite centraliser les rendez-vous afin de simplifier et d’accélérer l’accès aux examens et aux soins, explique le Dr Chkiri, gynécologue-obstétricien, responsable du centre de pathologies mammaires, et secondé par les docteurs Bica, Bouvier-Desnos, Yakendji, Caubet et Radji. Mammographie, ponction, biopsie ou encore consultation chirurgicale sont réalisés dans les délais les plus courts pour limiter les pertes de chance. » En effet, détecté à un stade précoce, le cancer du sein peut être guéri 9 fois sur 10.

Au cours de ce parcours de soins, la patiente est prise en charge dans sa globalité et peut également bénéficier de soins médico-esthétiques tels que des séances de kinésithérapie et balnéothérapie, d’hypnose, de kinésiologie ou encore de socio-esthétisme.

 

 

Sport après cancer

Après avoir été touché par un cancer, la pratique sportive s'avère être un élément central de la réhabilitation du patient tant sur le plan physique que psychologique. Fin 2022, l’Agence régionale de santé de Bourgogne-Franche-Comté lance alors un appel à projets auprès des établissements de santé pour inciter les patients à pratiquer un sport après un cancer. « Notre projet a été retenu ! », se réjouit Patricia Baumelou, directrice des soins à la Clinique Paul Picquet. Chacune de nos patientes va pouvoir bénéficier sur prescription, de 180€ pour 4 ateliers sportifs, comme la gym douce, l’aquagym ou la marche, avec un professeur d’Activités Physiques Adaptées à la clinique ou dans des clubs sportifs partenaires. »




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