Elsan poursuit le développement des coopérations avec l’hôpital public pour renforcer l’accès territorial aux soins

Le plan ministériel d’égal accès aux soins dans les territoires vient d’être dévoilé.  Dans des territoires sensibles, la coopération entre l’hôpital public et les établissements privés permet de pérenniser l’accès de tous aux soins. Elsan a été précurseur de formes innovantes de coopérations public-privé, en particulier en Nouvelle Aquitaine.

Les coopérations réussies naissent toujours de la volonté, du pragmatisme et du bons sens des acteurs. Et grâce aux groupements de coopération sanitaire (GCS) issus de la loi Hôpital, Patients, santé, Territoires de 2009, ces partenariats sont déjà possibles et en place avec des établissements Elsan dans certains territoires. Ces coopérations répondent à deux enjeux majeurs : pérenniser les offres de soins de qualité de proximité, en mutualisant les plateaux techniques et les équipes, tout en améliorant l’attractivité médicale des territoires fragiles.

Jérôme Nouzarède affirme : « Elsan souhaite continuer à participer à la lutte contre des difficultés d’accès à la santé rencontrées par une partie de la population ; les praticiens et cliniques du groupe ont su mobiliser, dans nombre de zones sensibles, les énergies pour faciliter ces accès ; les coopérations développées avec les acteurs de terrain alliées aux nouvelles technologies doivent permettre d’accompagner encore davantage ce mouvement et lui donner les clés d’une réponse durable. »

Au sein d’Elsan, deux exemples de coopérations sanitaires répondent à ces enjeux :

• Le Pôle Santé du Villeneuvois, depuis son ouverture en 2014, est un partenariat public privé issu du rapprochement géographique entre la Clinique et le Centre Hospitalier de Villeneuve-sur-Lot sur un nouveau site.
• A Chaumont-Langres, 5 établissements publics et privés du bassin du Sud Haut Marnais sont organisés au sein de deux groupements de coopération sanitaires. Le premier porte la responsabilité d’offrir une offre chirurgicale y compris en cancérologie au travers d’un parcours simplifié et innovant pour le patient et son médecin traitant, le deuxième a pour vocation de mettre en commun les moyens logistiques et d’infrastructures publics et privés.